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Cette période de l'année est intéressante car avec les nuits qui tombent plus tôt, on peut constater l'absurdité de la politique urbaine de notre ville depuis des décennies en comptant le nombre de logements réellement occupés.
Quelques chiffres :
- 48% la part des résidences secondaires et logements vacants
- 1200 le nombre de demandes de logements sociaux non satisfaites
- 16 le nombre de programmes neufs prévus mais inaccessibles aux jeunes familles, actifs à bas revenus et retraités à pension réduite
- 2,8 millions d'euros, l'amende annuelle payée par Saint-Raphaël pour non respect de la construction de logement social
On aimerait comprendre la logique.
On ne peut que souscrire à la réponse de M. Jean-Paul Jambon, Fondation Abbé Pierre à M. Masquelier.